Les chats d’Alain Séchas ne nous ressemblent pas. Le monde dans lequel ils évoluent est difficilement imaginable quand on ne connaît que le nôtre. Bien d’autres rêveurs cruels ont précédé l’artiste dans cette voie cruelle. Leurs univers invivables, leurs scènes de genre féroce, leur sexualité débridée, leurs ironies glacées et leur humour couleur d’encre de Chine nous font mieux rendre grâce de nos bonheurs quotidiens. Café noir : quarante-huit dessins pour se réjouir de l’ordre de nos choses.
Café Noir