Suivant une méthode proche de celle inventée par l’historien de l’art Aby Warburg pour son « atlas d’images Mnemosyne », Henrik Olesen travaille à partir d’images d’archives pour examiner les différentes formes de criminalisation, passées aussi bien que présentes, de l’homosexualité, et réinscrire la contre-culture homosexuelle dans l’histoire de l’art et des pratiques culturelles.