Catalogue d'exposition. Couverture imprimée en noir et orange sur fond blanc, maquette de Jérôme Saint Loubert-Bié. Textes en anglais et allemand de Stephan Berg, Konrad Bitterli et Ellen Seifermann ainsi qu'une interview entre Douglas Fogle et l'artiste.

Autobiography by Jonathan Monk is the first attempt of display of the artist’s collection of « Crackers » copies by Ed Ruscha. « In my early teens my mother would often react to certain things I did or said with… you must be crackers… » (extract from Monk’s text on the book).

Following Ryan Gander’s moon sequence in Leporello N° 04, Jonathan Monk proposes that a new day is dawning. Saving himself the cumbersome task of yet again* walking in Ed Ruscha’s footsteps along the seemingly endless Sunset strip, Monk captures the zeitgeist through more accessible means. With the camera of his iPhone 12 set to Panoramic mode, Monk photographed Ruscha’s 1966 milestone artist’s book – perhaps the most celebrated book to ever utilize the leporello format.

My Backside revient sur l’exposition éponyme de Jonathan Monk qui a eu lieu à la librairie Florence Loewy du 1er février au 14 mars 2020. Durant celle-ci, tous les livres de Jonathan Monk, étaient présentés retournés, de façon à ne montrer que les quatrièmes de couverture. Ce catalogue rejoue ce geste de retournement en donnant à voir les légendes des images par transparence, au verso de chaque page.

Une compilation de notes de restaurants collectées entre Rome et Berlin sur lesquelles l’artiste conceptuel britannique reproduit les œuvres d’autres artistes (Luciano Fabro, Donald Judd, Andy Warhol, Jenny Holzer, André Cadere, Maurizio Cattelan…). Un geste d’appropriation qui reflète un discours sur l’état actuel du marché de l’art tout en proposant une vision personnelle de l’histoire de l’art des années 1960 à nos jours.

Cette publication accompagne, reflète et étends l’exposition de l’artiste à la Kunsthaus Basseland.

The Secret Exhibition was held in Summerhall, Edinburgh from 2 August 2012 – 31 December 2012. Sixty-four works by Jonathan Monk from the Heart Fine Art Collection were exhibited in a hidden attic space within the Summerhall complex. Visitors to the exhibition were by invite only. One hundred and twenty-one people saw the exhibition curated by Paul Robertson.

600 copies

En 2011, quinze artistes furent invités à créer un poster, à l’afficher où ils le souhaitaient et à commenter le poster dans le contexte choisi. Ils devraient être découverts, négligemment accrochés, aux détours d’une rue, aimantés sur un frigidaire ou encore placardés dans une ruelle, accrochant le regard du passant. Forth & Back est un projet qui prend la forme d’une publication et d’une édition mais il a également donné lieu à des évènements, tels qu’une exposition, une performance, un mix-tape, ou encore un snack éphémère.
Avec : Richard Bevan/ Melanie Counsell/ Sean Edwards/ The Everyday Press/ Richard Healy/ Ian Homerston/ Pernille Leggat Ramfelt/ Sara MacKillop/ Jonathan Monk/ Catalina Niculescu/ Ben Öztat/ Colin Sackett/ Jake Tilson/ Watts of Goodwill/
Ian Whittlesea

Ce livre traite de la relation qui lie Jonathan Monk à Alighiero e Boetti et démontre, à travers des oeuvres choisies de Jonathan Monk, la résonnance et les similitudes d'approches dans leurs créations artistiques.

Livre d’artiste (flip-book).
Un disque magenta cache, en partie, une photographie noir et blanc montrant Jonathan Monk, dans son atelier, assis sur une caisse, avec près de lui un « Deflated Koons Rabbit », et derrière lui une bicyclette. De page en page le disque rétrécit, change de couleur (du magenta au rouge), finit par ne plus recouvrir que le nez de l’artiste. Seules les pages impaires sont imprimées.

Une « méta-appropriation » des livres d’artiste de Richard Prince, mis en scène dans le studio de Monk.
Le livre de Jonathan Monk prend pour point de départ un ensemble de publications de Richard Prince. Visuellement très proche de ces livres d’artiste culte des années 1990, Studio Visit s’en distingue d’une autre manière : il constitue une (méta-)appropriation du travail de Prince en mettant en scène ses livres dans le propre studio de Monk.
Jonathan Monk a longtemps été considéré comme l’artiste « post-studio » par excellence, travaillant dans un petit bureau avec un ordinateur et un téléphone mobile. Cette publication révèle qu’il possède en réalité un studio au sens traditionnel du terme. Un espace dans lequel il a toute liberté pour penser à ce qu’il reste à faire… ou à refaire.

Au début des années 1990, alors qu’il était étudiant à l’école d’art de Glasgow, Jonathan Monk a commencé à travailler sur la série One in Ten in One. L’artiste a photographié une boîte de papier photo Ilford (ornée de l’une des images noir et blanc habituelles), puis a développé cette photographie sur chaque feuille contenue dans la boîte.

Cette édition montre pour la première fois les 16 déclinaisons existantes de cette œuvre conceptuelle, sur 440 pages. Elle est présentée dans une boîte Ilford scellée, limitée à 600 exemplaires.

Un livre dont les pages sont constituées de photographies d’ephemera, livres et documents collectionnés par l’artiste, une sorte de bibliographie d’ephemera.

Catalogue avec 78 illustrations en couleurs et 14 en noir avec des textes en français et anglais de John Baldessari, Claude Closky, Ceal Floyer, Edward Ruscha et Frédéric Paul ainsi que deux entretiens entre l'artiste et David Shrigley et un autre avec Pierre Bismuth.

Livre (texte en anglais / publié à l’occasion de l’exposition de Jonathan Monk « Neither a borrower, nor a lender be » du 8 mars au 5 mai 2003 au centre d’art contemporain Arnolfini de Bristol. The Project Book Project reproduit des photocopies de pages de livres d’artistes, de magazines ou de catalogues, déterminants dans le travail de Jonathan Monk.

Flip book réalisé à partir du film 16mm Loop cartoon.

Premier catalogue en français et anglais de l’artiste.